TCS – Test des caisses de transport pour chiens 2025

TCS – Test des caisses de transport pour chiens 2025

Retrouvez ci-dessous les tests effectués par le TCS en 2025 sur les caisses de transport pour les chiens.

Lors du dernier test du TCS en 2018, il est apparu que seules les cages de transport répondaient réellement aux exigences élevées de confort et de sécurité, aussi bien pour l’animal que pour les passagers. C’est pourquoi le test actuel se concentre exclusivement sur 9 modèles de cages pour chiens, et non sur des harnais, des grilles ou des caisses en plastique.

Les cages testées couvrent aussi bien des modèles pour le coffre que pour la banquette arrière. Afin de refléter l’offre du marché, des cages de différentes tailles ont été sélectionnées selon les critères suivants :

  • Prix maximum de 900 CHF
  • Assez petite pour tenir dans le véhicule d’essai Hyundai Ioniq 5
  • Assez grande pour le mannequin chien (7,6 kg, 41 x 46 x 32 cm L x l x H)

Résultats des tests

Les différences entre les caisses sont considérables. En règle générale, les modèles plus coûteux offrent une meilleure qualité. Les caisses moins chères se comparent certes aux modèles haut de gamme en matière de montage et d’installation, mais des écarts importants apparaissent lorsqu’il s’agit de la fabrication, de la qualité des matériaux et de la résistance aux chocs. Certains modèles ne peuvent d’ailleurs être recommandés qu’à certaines conditions.

Sécurité

Les caisses de transport pour chiens ont satisfait aux exigences lors des tests dynamiques. Certaines se sont révélées particulièrement stables face aux déplacements latéraux et ont bien maintenu le mannequin. En revanche, pour quelques modèles, les fabricants n’ont fourni aucune information concernant la fixation : ces caisses ont alors tendance à glisser dans le véhicule. La plupart du temps, elles disposent aussi d’un fond glissant, ce qui a pénalisé leur évaluation.

Les crash-tests ont mis en évidence des différences de qualité importantes. La stabilité des modèles bon marché reflète généralement leur prix peu élevé : dans certains cas, les parois en bois se brisent totalement, présentant un risque de blessure pour le chien et les passagers. Sur d’autres caisses, ce sont les montants ou les raccords qui cèdent.

Compte tenu du danger pour les passagers et le chien, les caisses de Freezack, Cadoca et Roony n’obtiennent qu’un résultat « recommandé avec réserve ». La caisse de Trixie obtient la note « recommandé », tandis que les 5 autres caisses sont fortement recommandées en termes de sécurité.

Adéquation pour le chien

Les résultats concernant l’adéquation des caisses pour le chien varient fortement. Sur certains modèles, les exigences liées au risque de blessure par des bords tranchants, à la robustesse des matériaux ou encore à la stabilité de la structure ne sont que partiellement respectées.

Les cages Thule, Freezack et Roony sont livrées sans tapis de sol, ce qui rend la surface intérieure glissante et peu confortable pour le chien. Thule propose toutefois ce tapis comme accessoire séparé.

En matière d’accessibilité, la plupart des caisses se montrent convaincantes : leurs portes sont larges et bien positionnées. Les modèles Thule et Freezack disposent en plus d’une sortie de secours. En cas de collision arrière empêchant l’ouverture du hayon, le chien peut ainsi être libéré par une deuxième ouverture après avoir rabattu la banquette arrière.

La cage Thule se distingue également par son design ajustable en taille, un atout qui lui vaut des points supplémentaires.

Manipulation

Le montage et l’installation des cages peuvent être réalisés sans difficulté par un non-professionnel et dans un délai raisonnable, quel que soit le modèle. La cage Premium de Schmidt-Fahrzeugbau, livrée déjà montée, ainsi que la Crispin M de Tavo, qui ne nécessite que quelques manipulations, obtiennent ainsi de très bons résultats dans cette catégorie.

En revanche, les caisses Freezack et Roony perdent des points lors de l’évaluation. Leurs instructions ne mentionnent pas la nécessité de fixer la cage, ce qui peut amener des utilisateurs inexpérimentés à les placer simplement dans le véhicule, sans les sécuriser.

Les caisses obtiennent également de bons résultats en matière de nuisances visuelles, olfactives et sonores. Aucun des modèles ne dégage d’odeur désagréable. Le bruit n’est un problème perceptible que dans le cas de la caisse de Cadoca. Aucune des caisses n’affecte fortement la visibilité vers l’arrière.

Nettoyage et entretien

En matière de nettoyage et d’entretien, les caisses se répartissent en deux catégories. Environ la moitié d’entre elles ne fournissent quasiment aucune indication et présentent un fond laissant passer les liquides. L’autre moitié propose en revanche des consignes précises et est conçue de manière à empêcher que les liquides ne salissent l’intérieur du véhicule.

Un constat intéressant ressort également de l’évaluation : les caisses qui n’ont pas obtenu de très bons résultats au critère « aération » se distinguent souvent par une meilleure résistance à la salissure. En effet, une aération réduite limite aussi la dispersion des poils d’animaux dans l’habitacle.

Conclusion

Le test a clairement montré que faire des économies sur le prix d’achat d’une cage pour chien signifie souvent faire des compromis en matière de sécurité, or c’est justement le domaine dans lequel il ne faut faire aucune concession. Si la plupart des modèles testés ont obtenu des résultats satisfaisants à très bons dans les catégories « Adéquation pour le chien », « Manipulation » et « Nettoyage et entretien », des différences parfois notables sont apparues dans le critère décisif de la sécurité.

À l’exception des cages Cadoca et Roony, qui n’ont pas convaincu du tout en matière de sécurité, tous les autres produits testés peuvent être recommandés dans l’ensemble. Cependant, le choix d’un modèle particulier doit toujours être fait de manière individuelle, en fonction du chien, de l’utilisation prévue et de l’espace disponible.

Il convient de souligner que le montage de la plupart des caisses est bien documenté et peut être facilement réalisé, même par des non-professionnels. En revanche, les instructions pour un montage sûr dans le véhicule pourraient être nettement améliorées. Cet aspect est particulièrement important pour la protection en cas d’urgence, mais il n’est pas suffisamment décrit par de nombreux fabricants. Il en va de même pour le nettoyage et l’habituation du chien à la caisse : il manque souvent des conseils pratiques qui pourraient faciliter le quotidien et améliorer le bien-être de l’animal.

Il convient également d’examiner de près le contenu de la livraison. Alors que certains fournisseurs livrent uniquement la cage sans accessoires, d’autres modèles comprennent des extras utiles tels que des tapis antidérapants, des serrures intégrées ou du matériel de fixation pour le véhicule. Ceux-ci peuvent non seulement augmenter le confort, mais aussi la sécurité.

Pour les propriétaires dont le véhicule ne dispose pas d’un coffre suffisamment grand, les cages pour la banquette arrière se sont avérées être une alternative tout aussi valable. Elles répondent aux exigences essentielles en matière de sécurité et de confort tout en offrant une solution peu encombrante.

Dans l’ensemble, le test montre qu’une cage pour chien bien choisie est un investissement à long terme dans la sécurité et le confort de l’animal. En veillant à la stabilité testée, à la taille adaptée et à la fabrication soignée, vous en tirerez profit non seulement au quotidien, mais surtout dans les situations critiques – et c’est précisément là que la qualité prend tout son sens.

Recommandations des experts du TCS

  • Taille adéquate de la cage : le chien doit pouvoir s’asseoir, se retourner et s’allonger confortablement à l’intérieur, mais la cage ne doit pas non plus être trop grande pour qu’il ne glisse pas à l’intérieur.
  • Essai d’installation : si possible, rendez-vous chez le revendeur pour vérifier que la cage rentre bien dans le coffre.
  • Montage correct : montez la cage conformément aux instructions. Si celles-ci ne fournissent aucune indication, nous recommandons de placer la cage au centre du dossier de la banquette arrière, puis de la fixer à l’aide de sangles d’arrimage. Cela permet de protéger l’animal et les passagers. Il convient de vérifier régulièrement que la fixation est bien solide.
  • Magasins spécialisés : les magasins spécialisés vous fourniront de bons conseils pour trouver la cage adaptée à votre véhicule et offrant la protection nécessaire à votre chien.
  • Prix : il n’est pas nécessaire d’acheter la cage pour chien la plus chère, mais si vous optez pour une offre très bon marché, il est impératif de consulter les résultats des crash-tests ou les rapports d’essai. La sécurité n’est pas un domaine dans lequel il faut faire des économies.

Source de cet article : www.tcs.ch

Hotspot chez le chien – comment soigner et prévenir ?

Hotspot chez le chien – comment soigner et prévenir ?

La boutique en ligne iPet.ch dispose d’une page de conseils pour chats et chiens. Voici un article très intéressant publié par le médecin vétérinaire Bianca Michoud-Valente :

Qu’est-ce qu’un hotspot ?

Le hotspot, ou dermatite pyotraumatique, est une lésion cutanée inflammatoire et suintante, souvent douloureuse et prurigineuse, qui apparaît subitement chez le chien. Ces lésions se manifestent par une plaque rouge, dépilée, suintante, parfois purulente, souvent entourée d’une frange de poils collés et qui peut rapidement s’étendre.

Les hotspots se localisent le plus souvent sur la tête, les membres, les hanches ou autour du cou, mais peuvent apparaître sur n’importe quelle partie du corps. Ils sont parfois bien visibles, mais peuvent aussi être cachés sous des poils emmêlés ou collés par le pus.

Pourquoi mon chien a un hotspot ?

Le hotspot est déclenché par une inflammation de la peau, souvent liée à un léchage, grattage ou mordillement excessif. Cela aggrave l’irritation, favorise la prolifération bactérienne et entretient un cercle vicieux d’inflammation et de démangeaisons.

Ce comportement peut être provoqué par :

  • Piqûres de puces, tiques ou autres parasites
  • Allergies alimentaires ou environnementales
  • Blessures superficielles (griffure, éraflure, morsure)
  • Baignades fréquentes, pluie ou humidité persistante
  • Mauvaise hygiène ou toilettage insuffisant
  • Otites ou infections des glandes anales
  • Troubles comportementaux (anxiété, frustration, ennui)
  • Douleur (arthrose)

L’humidité joue un rôle aggravant majeur : un chien mouillé après une baignade, une pluie ou un bain est plus à risque, car la macération sous le pelage favorise la prolifération bactérienne et l’irritation cutanée. Le cercle vicieux s’installe rapidement : le chien se gratte ou se lèche, ce qui aggrave l’inflammation, augmente la chaleur locale et accentue l’envie de se gratter. C’est pourquoi les saisons chaudes et humides (printemps-été) sont les saisons les plus à risque.

Certaines races à peau sensible ou à poil dense (Labrador Retriever, Golden Retriever, Berger Allemand…) sont particulièrement prédisposées. Une barrière cutanée fragilisée, une alimentation déséquilibrée ou des allergies augmentent également le risque.

Comment soigner un hotspot ?

Le hotspot peut se développer très rapidement à partir d’une toute petite rougeur, donc il faut réagir rapidement lorsque l’on remarque la moindre irritation de la peau. En effet, la lésion peut s’étendre en quelques heures. Donc le traitement d’un hotspot vise avant tout à interrompre le cercle vicieux de l’auto-traumatisme et à prévenir l’aggravation ou la surinfection de la lésion. Une prise en charge rapide et rigoureuse permet d’obtenir une guérison rapide et de limiter les complications.

Soins locaux :

  1. Tondre et nettoyer : Rasez ou coupez soigneusement les poils autour de la lésion, sur plusieurs centimètres, pour bien exposer la zone à l’air. Cela permet à la peau de sécher, limite la macération et facilite l’application des soins topiques.
  2. Désinfecter: Nettoyez la lésion une à deux fois par jour avec un antiseptique spécifique (solution ou shampooing ou lingettes à la chlorhexidine). Un shampooing désinfectant peut être utilisé quotidiennement pendant 3 à 5 jours, puis 2 à 3 fois par semaine pendant deux semaines, afin de contrôler la flore bactérienne.
  3. Appliquer une crème réparatrice: Appliquez une crème apaisante et cicatrisante, comme une pommade au miel médicalisé. Selon la gravité, votre vétérinaire pourra prescrire une pommade antibiotique ou à base de corticoïdes.
  4. Protéger contre le léchage: Empêchez le chien de lécher, gratter ou mordiller la plaie. Une collerette est souvent indispensable les premiers jours. Un t-shirt peut aussi convenir dans certains cas. Évitez les pansements : la peau doit respirer pour guérir.

Traiter la cause du hotspot: Pour soigner efficacement un hotspot, il est essentiel d’identifier et traiter la cause sous-jacente : parasites, allergies, otites, piqûres, douleurs articulaires ou autre.

Quand faut-il consulter un vétérinaire ?

Il est important de consulter rapidement un vétérinaire si la lésion est très étendue, purulente, malodorante, ou si elle ne s’améliore pas malgré plusieurs jours de soins locaux. Une consultation est également nécessaire si le chien semble très gêné, se gratte intensément ou présente des signes généraux comme de la fièvre ou de l’abattement. Une prise en charge vétérinaire permettra d’évaluer la gravité de la situation, de traiter efficacement la lésion et d’identifier une éventuelle cause sous-jacente.

Comment prévenir l’apparition de hotspots ?

La prévention repose sur plusieurs mesures visant à maintenir une peau saine et à limiter les facteurs de risque :

  • Alimentation équilibrée ou compléments alimentaires : privilégiez une alimentation riche en acides gras essentiels (oméga 3 et 6) pour renforcer la barrière cutanée et limiter l’inflammation. Des compléments spécifiques existent également pour soutenir la santé de la peau si un changement alimentaire n’est pas souhaité.
  • Toilettage régulier : brossez régulièrement le pelage pour éliminer les poils morts et surveiller la peau, surtout chez les chiens à poil long ou dense. Après chaque baignade ou promenade sous la pluie, séchez soigneusement votre chien en rentrant – voir vous pouvez le rincer et le sécher au sèche-cheveux s’il est très sujet aux hotspots.
  • Shampooings adaptés : utilisez des shampooings doux, formulés pour les chiens, afin d’éliminer les allergènes tout en respectant l’équilibre naturel de la flore cutanée. Un bain trop fréquent ou avec des produits inadaptés peut fragiliser la peau.
  • Prévention des parasites : appliquez régulièrement des antiparasitaires efficaces (pipettes, colliers, comprimés) pour prévenir les piqûres de puces, tiques ou autres parasites, souvent à l’origine de démangeaisons et de lésions.
  • Surveillance et soins des blessures : en cas de petite blessure, griffure ou piqûre, désinfectez immédiatement et appliquez une crème adaptée. Surveillez la zone et votre chien.
  • Attention au printemps et en été : redoublez de vigilance durant ces périodes propices à l’apparition des hotspots, surtout chez les chiens prédisposés ou ayant déjà présenté des hotspots.

En somme, le hotspot est une affection cutanée fréquente chez le chien, douloureuse mais généralement bénigne si elle est prise en charge rapidement. Une hygiène rigoureuse, une alimentation adaptée et une surveillance attentive des comportements de grattage ou de léchage sont les clés d’une bonne prévention. En cas de doute ou d’aggravation, n’hésitez pas à consulter votre vétérinaire : une prise en charge précoce garantit une guérison rapide et limite les complications.

Informations utiles en un coup d’œil

Comment savoir si mon chien a un hotspot ?

Un hotspot se manifeste généralement par une zone rouge, suintante, sans poils et parfois purulente, souvent entourée de poils collés. Le chien se gratte, lèche ou mord fréquemment cette zone. Les zones les plus touchées sont la tête, le cou, les hanches ou les membres.

Faut-il toujours consulter un vétérinaire en cas de hotspot ? 

Pas forcément – si la lésion est petite et détectée à temps, des soins locaux à domicile peuvent suffire. En revanche, si la zone s’étend rapidement, devient purulente ou si le chien semble souffrir, il est conseillé de consulter un vétérinaire.

Combien de temps dure la guérison d’un hot pot ? 

Avec un traitement rapide et adapté, la peau peut guérir en quelques jours à deux semaines. Il est essentiel de soigner régulièrement la zone touchée et d’éviter que le chien ne se gratte ou ne se lèche.

Mon chien peut-il développer des hotspots à répétition ? 

Oui, malheureusement. Les chiens à peau sensible, à pelage dense ou souffrant d’allergies sous-jacentes sont plus à risque de récidives. Il est alors important d’identifier et de traiter la cause sous-jacente et de renforcer les mesures de prévention.

Que puis-je faire pour prévenir les hotspots ? 

Offrez une alimentation équilibrée, entretenez régulièrement le pelage, assurez une protection antiparasitaire efficace et séchez bien votre chien après les bains ou les promenades sous la pluie. Soyez particulièrement attentif au comportement de votre chien, surtout au printemps et en été.

Source de cet article : ipet.ch

Rafael Nadal enflamme le Web avec une annonce choc

Rafael Nadal enflamme le Web avec une annonce choc

il investira 20 millions de dollars pour construire un « paradis » dédié au sauvetage des chiens errants, promettant de l’amour et un foyer à des milliers de chiots abandonnés

Rafael Nadal enflamme le Web avec une annonce choc : il investira 20 millions de dollars pour construire un « paradis » pour les chiens errants, promettant de l’amour et un foyer à des milliers de chiots abandonnés

Dans une initiative qui a à la fois stupéfié et inspiré ses millions de fans à travers le monde, la légende du tennis Rafael Nadal a annoncé qu’il investirait la somme colossale de 20 millions de dollars pour construire un « paradis » dédié au sauvetage des chiens errants. Cette nouvelle initiative, qui vise à offrir un refuge aux chiots abandonnés, leur offrira non seulement amour et soins, mais aussi un foyer permanent où ils pourront s’épanouir.

Connu pour sa détermination acharnée sur les courts de tennis, Rafael Nadal consacre aujourd’hui la même énergie à une cause bien différente : la protection animale. L’annonce de la superstar espagnole a fait sensation sur les réseaux sociaux, sa décision de contribuer au bien-être des animaux errants étant saluée par le monde entier. Son objectif est de créer un sanctuaire où les chiens dans le besoin pourront trouver refuge, amour et soins, transformant ainsi la vie de milliers d’animaux délaissés.

L’initiative, encore à ses débuts, est financée par les ressources personnelles de Nadal, à hauteur de 20 millions de dollars. Ce généreux investissement servira à la construction du sanctuaire, qui offrira de vastes espaces ouverts où les chiens pourront se déplacer librement, ainsi que des structures de soins spécialisées conçues pour répondre à leurs besoins physiques et émotionnels.

Le sanctuaire Nadal ne sera pas seulement un refuge pour chiens errants : il reproduira un habitat naturel où les animaux pourront se sentir en sécurité et aimés. L’établissement adoptera une approche holistique de la réadaptation, répondant aux besoins physiques, émotionnels et psychologiques de chaque chien accueilli. Des experts en soins animaliers seront présents pour garantir à chaque chien le meilleur traitement possible, qu’il soit issu de la rue ou d’une situation de maltraitance.

L’équipe de Nadal, composée de défenseurs des droits des animaux et de vétérinaires, travaille en étroite collaboration avec lui pour que le sanctuaire ne soit pas seulement un foyer temporaire, mais un lieu où les chiens peuvent guérir et trouver un foyer permanent. La légende du tennis a souligné que l’adoption sera un élément clé du projet, l’objectif ultime étant de trouver des familles aimantes pour chaque chien accueilli. Pour Nadal, ce projet vise à créer un effet d’entraînement de compassion et de bienveillance envers les animaux dans le besoin.

Pour Nadal, il ne s’agit pas d’un simple projet caritatif : c’est une action profondément personnelle. Le champion de tennis a toujours entretenu un lien fort avec les animaux, et plus particulièrement avec les chiens. Son amour pour les animaux est bien connu, et son désir d’améliorer leur vie transparaît dans ses actions. Nadal a confié avoir toujours été touché par le sort des chiens errants, ayant été témoin de leurs difficultés dans la rue.

Dans son annonce, Nadal a exprimé son profond engagement envers cette cause : « J’ai toujours pensé que chaque animal mérite amour et respect. Je veux offrir aux chiens errants une vie meilleure, comme à tout autre être vivant. C’est plus qu’un simple projet ; c’est une mission pour aider ceux qui ne peuvent pas s’aider eux-mêmes. »

La légende du tennis a également souligné l’importance de sensibiliser le public au problème mondial de l’abandon des animaux. Les chiens errants sont souvent livrés à eux-mêmes dans des conditions difficiles, et nombre d’entre eux risquent une mort prématurée due à la négligence ou à la maltraitance. Le sanctuaire de Nadal sera une lueur d’espoir pour ces animaux qui n’ont personne vers qui se tourner.

L’annonce de Nadal a déjà suscité un élan de soutien de la part des fans, des associations de défense des animaux et d’autres célébrités. Nombre d’entre elles ont salué sa générosité, soulignant que cet investissement va au-delà de son héritage sportif : il consolide sa position de philanthrope engagé à rendre le monde meilleur pour tous les êtres vivants.

Ce projet devrait non seulement améliorer la vie de milliers de chiens, mais aussi inciter d’autres personnes à agir au sein de leur communauté. Les amis des animaux du monde entier considèrent désormais Nadal comme un modèle, conscients que chacun a le pouvoir de faire la différence, quelle que soit l’ampleur de son geste.

À une époque où les célébrités sont souvent critiquées pour leurs actions, l’engagement de Nadal en faveur du bien-être animal fait de lui un véritable humaniste. Sa décision d’utiliser sa fortune et son influence pour le bien commun témoigne de sa force de caractère et prouve que la grandeur s’étend bien au-delà des courts de tennis.

Alors que le sanctuaire de Nadal prend forme, l’avenir s’annonce prometteur pour les milliers de chiens errants qui auront bientôt un refuge sûr. Avec la légende du tennis à ses côtés, il ne fait aucun doute que son projet servira d’exemple de la façon dont la passion, la compassion et l’engagement pour le changement peuvent avoir un impact durable sur le monde.

Cet investissement de 20 millions de dollars permettra non seulement de fournir un espace physique aux chiens errants, mais aussi un environnement de ressourcement psychologique et émotionnel où ils pourront bénéficier d’amour et de soins pour la première fois de leur vie. Le « paradis » de Nadal servira sans aucun doute de modèle pour les futurs projets de protection animale, prouvant qu’avec dévouement et cœur, même les animaux les plus abandonnés peuvent trouver espoir et bonheur.

L’annonce choc de Rafael Nadal d’investir 20 millions de dollars dans le sauvetage des chiens errants a déclenché un mouvement mondial, fédérant les défenseurs des animaux et incitant les gens du monde entier à agir. À mesure que le projet se développe, il est clair que la vision de Nadal de créer un sanctuaire accueillant pour ces animaux abandonnés changera des vies et inspirera d’innombrables autres personnes à suivre son exemple.

Rafael Nadal a prouvé une fois de plus que son cœur est aussi grand que son talent. Son engagement en faveur des chiens errants illustre parfaitement comment une personne influente peut utiliser sa notoriété pour changer le monde. En investissant dans l’avenir de ces animaux, Nadal montre au monde ce que signifie être un véritable champion, sur le court comme en dehors.

Source de cet article : luxury Blogs

Top 3 des aliments secs pour chiens

Top 3 des aliments secs pour chiens

Article paru sur le magazine Bon à Savoir :

Vous cherchez les meilleures croquettes pour Médor? Plusieurs paquets vendus en Suisse ont reçu la note la plus élevée dans le test d’aliments secs pour chiens adultes de taille moyenne du magazine allemand Öko-Test. On trouve ces aliments complets sur zooplus.ch, Galaxus et, pour le premier de file, chez Lidl. Attention, les moutons noirs du test, aux résultats insuffisants, existent aussi en Suisse: il s’agit des céréales au poulet avec moelle osseuse de Crave, de l’aliment à la volaille, légumes et riz de Frolic, et de celui au poulet d’Eukanuba. Les deux premiers produits contenaient trop de sélénium. Pour celui d’Eukanuba, un excès de zinc pollue l’eau via les excréments. gda

Öko-test(11/2024), oekotest.de

Top 3

1.Orlando 
Pure Taste croquettes pour chiens, 1,5 kg
4.95 fr.

2. Royal Canin, 
aliment complet pour chiens, 4 kg
32 fr.

3.ZooRoyal
Vital Plus aliments secs, 2,5 kg
14.80 fr.

Source de cet article : Bonasavoir.ch

Les tarifs des vétérinaires vont du simple au triple

Les tarifs des vétérinaires vont du simple au triple

Voici un article très intéressant paru sur « Bon à savoir« 

ANIMAUX DE COMPAGNIE Adopter un chat ou un chien, c’est aussi accepter d’investir dans sa santé dès le départ. Notre comparatif montre de fortes variations de prix pour les prestations vétérinaires les plus courantes, y compris au sein d’une même région.

SOINS AUX ANIMAUX La qualité est difficilement mesurable à l’avance, mais on peut demander les prix.

Même pour un animal en pleine santé, les premiers passages chez le vétérinaire représentent des frais importants. Vacciner, castrer et pucer un chat mâle d’intérieur coûtera environ 200 fr. dans les cabinets les plus abordables de Suisse romande. Il faudra compter pratiquement le double dans les plus onéreux. Pour une chienne d’une vingtaine de kilos, la stérilisation ainsi que les vaccins fondamentaux et contre la rage reviendront au mieux à 500 fr., mais les frais pourront aussi bien grimper à 1300 fr.

Libres de fixer leurs prix

Attention: à ces budgets s’ajoutent les doses supplémentaires et les rappels des vaccins, qui en multiplient le prix. Pour les chats d’extérieur, la piqûre sera aussi plus chère et, pour les chiens destinés à voyager, il faudra faire un passeport (compter entre 20 fr. et 50 fr.) en plus du vaccin contre la rage.

En Suisse, les prestations vétérinaires de routine ne sont pas obligatoires (sauf exceptions, comme la piqûre antirabique pour les chiens à Genève). Certaines le deviennent si l’animal sort du pays ou fréquente un chenil. Toutes restent néanmoins largement pratiquées, et la plupart recommandées pour le bien-être de l’animal. Quant aux prix, ils ne sont pas réglementés comme pour la médecine humaine. Chaque cabinet vétérinaire est libre d’appliquer les tarifs qu’il souhaite.

Difficile comparaison

Bon à Savoir a voulu connaître les écarts de prix, selon les cabinets vétérinaires, en Suisse
romande. Au vu des coûts en jeu, il vaut la peine de pouvoir comparer entre différents prestataires avant de faire son choix. Or, c’est presque impossible. Certes, les praticiens transmettent les prix sur demande, comme ils sont légalement tenus de le faire, ou les affichent dans leur salle d’attente. Mais très peu d’entre eux les publient sur internet.

Notre magazine a tiré au sort 28 cabinets vétérinaires sur le territoire romand (lire notre Zoom). Quatre par canton, en milieu urbain et en-dehors des villes. Seuls trois cabinets indiquaient leurs tarifs en ligne. Ailleurs, il fallait demander le prix de chaque prestation par téléphone. Un exercice fastidieux si l’on veut établir un budget vétérinaire précis pour son chat ou son chien.
On comprend que plupart des détenteurs d’animaux y renoncent et attendent de voir la facture.

Économiser, c’est possible

Une plus grande transparence sur les prix pourrait mener à des économies substantielles, montre notre relevé. En Suisse
romande, comme en Suisse alémanique d’après notre partenaire K-Tipp, les tarifs de certaines prestations vont du simple au double, voir au triple (castration ou stérilisation, par exemple). Genève est, de manière générale, la région la plus chère; le Jura et le Jura bernois sont les moins coûteuses. Plus étonnant: dans une même zone, on trouve des tarifs élastiques.

Exemples:

➛ A Genève et environs, le prix d’une première consultation peut être de  44 fr. comme de 73 fr. Selon notre relevé, pour castrer un chien d’une vingtaine de kilos, on paie entre 350 fr. et 650 fr.!

➛ Autour de Lausanne, certains propriétaires épargneront au moins 150 fr. sur la stérilisation d’une minette ou 300 fr. sur celle d’un chien, en une petite demi-heure de train.

➛ Les plus gros écarts de notre relevé concernent le Jura: castrer un chien coûte entre 180 fr. et 700 fr. (et de 400 fr. à 1 000 fr. pour stériliser une chienne).

Pour un vaccin ou plusieurs vaccins administrés en même temps, on économisera souvent des dizaines de francs sans aller très loin. Idem pour poser une puce et enregistrer son chat dans la base de données ANIS – ces deux actes vont de paire pour la grande majorité des cabinets. A noter que ce service bénéficie parfois d’un rabais s’il est effectué en même temps que d’autres prestations (lire Nosconseils).

Des approches opposées

Comment expliquer de tels écarts de prix entre cabinets? «J’exerce seul et mon infrastructure est très sobre», note un vétérinaire pour petits animaux qui tient à rester anonyme. Exit les coûts de personnel et les frais pour moderniser son local. Plusieurs praticiens interrogés ont souligné que les coûts de location et le niveau d’équipement affectent fortement les tarifs. Tout comme l’augmentation constante de leurs charges. Certains cabinets parmi les plus onéreux ont assuré qu’il fallait payer ces prix pour des services modernes et de qualité.

Notre enquête ne dévoile pas d’écarts particuliers entre tarifs en ville ou dans les communes rurales, à une ou deux exceptions près. Les cabinets dans les chefs-lieux ont tendance à être un peu plus coûteux. Enfin, constat établi dans un précédent relevé à nouveau confirmé: les prix des praticiens intervenant aussi sur des animaux de rente sont souvent moins élevés.

Certains cantons ne possèdent pas de réserves inépuisables de vétérinaires: cinq cabinets contactés avaient déjà été tirés au sort par Bon à Savoir en 2016. Une comparaison montre que les prix ont augmenté en huit ans, les hausses allant chez certains  praticiens jusqu’à +50%. Un chiffre sept fois supérieur à l’inflation sur la même période.

Notre enquête, cartes sur table 

Bon à Savoir s’est concentré sur les chiens et les chats et a sélectionné neuf prestations courantes, dont plusieurs vaccins et toutes les opérations de stérilisation.

Notre magazine a tiré au sort 28 cabinets vétérinaires ou vétérinaires indépendants, en croisant plusieurs bases de données et moteurs de recherche. Pour couvrir à la fois les milieux urbains et les zones moins denses, ont été sélectionnés dans chaque canton: un praticien dans le chef-lieu (à Bienne pour le canton de Berne), un autre dans la seconde ville la plus peuplée et le reste en campagne, en montagne ou dans les agglomérations.

Lors d’un premier téléphone, nos journalistes n’ont pas dévoilé leur identité. Par le passé, cette méthode avait abouti à de nombreuses requêtes restées sans réponses. Le but: poser des questions dans la situation d’un propriétaire d’animal cherchant à connaître les prix avant d’amener son chien ou son chat. Les tarifs ont été notés tels qu’indiqués au bout du fil. Ils reflètent ce que les vétérinaires ou leurs assistants auraient communiqué à de potentiels clients sur le moment. Par la suite, tous les cabinets ont eu la possibilité de confirmer ces tarifs avant publication.

Fait réjouissant: tous les cabinets ont indiqué des prix au téléphone, même si l’un ou l’autre a perdu patience au fil des questions. Seuls deux vétérinaires ont revu la plupart de leurs tarifs à la baisse, une fois notre démarche journalistique révélée. 

Pour rappel, la loi oblige les vétérinaires à renseigner les clients qui en font la demande sur leurs prix. Les tarifs devraient être mis à leur disposition au cabinet, ce que Bon à Savoir n’a pas contrôlé. Indice peu rassurant toutefois: seuls 6 cabinets sur 28 avaient des listes de prix publiées en ligne ou prêtes à être transférées par e-mail. Selon certains vétérinaires, le système de prix serait «trop complexe» et «trop fluctuant» pour être fixé par écrit.

Les bons gestes pour adoucir la facture

Comparer. C’est le maître mot pour économiser. Il ne faut pas hésiter à téléphoner à plusieurs praticiens dans sa région et à poser des questions sur les coûts, en toute franchise. En cas de refus au téléphone, rappeler au cabinet vétérinaire que la loi l’oblige à dévoiler les tarifs aux clients qui les demandent.

Stérilisation et vaccins:
Attention à bien demander si les coûts liés à l’anesthésie et au poids (pour un chien) sont compris dans le tarif de la stérilisation, et à s’informer des suppléments de prix en cas de complications voire de contrôles post-opératoires: ils peuvent alourdir considérablement la facture. Pour les vaccins, on demandera si la consultation est bien incluse dans le prix – c’était le cas pour les cabinets contactés. Demandez aussi si le tarif comprend la TVA. 

Offres et rabais:
Pour épargner encore un peu plus, on pourra éclaircir les points suivants:

Existe-t-il des offres spéciales actuelles ou à venir? Lors de notre ronde d’appels, on nous a fait part d’une promotion saisonnière sur la puce électronique.

A-t-on droit à des rabais sur les tarifs de base en effectuant certaines prestations en même temps? Si oui, de combien? C’est parfois le cas pour les vaccins administrés de concert et/ou pour la puce électronique.

Garder à l’esprit que des coûts non prévus peuvent s’ajouter à la note: notre magazine a remarqué que les factures de certains vétérinaires ayant dévoilé leurs tarifs incluaient des suppléments non communiqués. Heureusement, des rabais de combinaison, remises elles aussi inattendues, inversaient la tendance.

Source de cet article : Bonasavoir.ch