La Confédération appelée à serrer la bride sur certains éleveurs



Françoise Weydert a pu sauver à temps « Baccarat », qui avait léché les insectes urticants tombés d’un arbre. Image: Christian Bonzon

Ces larves ont peu de prédateurs. Le coucou et la mésange à huppe sont parmi les rares oiseaux à oser s’y attaquer. (Image: Martin Siepmann/Corbis )

Le nid de soie est bien visible sur ce pin du parc de Budé.
(Image: Christian Bonzon)
Ricochet n’est pas une chienne comme les autres. Non seulement elle est une vraie championne de surf canin, mais elle est aussi une chienne de thérapie, la seule qui surfe avec des personnes ayant des besoins spéciaux en raison de leur handicap ou maladie.
Un chien unique au monde
« Je suis le seul chien au monde qui surfe avec des enfants ayant des besoins spéciaux, des personnes handicapées, des blessés de guerre, des familles de militaires et d’anciens combattants souffrant de stress post-traumatique » lit-on sur le site web de Ricochet.
Il y a quelques jours, la célèbre chienne âgée de 6 ans a ainsi permis à un jeune garçon de 15 ans, Caleb, d’oublier quelques instants sa maladie et ses angoisses.
Atteint d’un cancer du cerveau, le jeune homme originaire d’Apopka, en Floride, a confié à la formidable association Make-A-Wish qu’il rêvait de surfer avec Ricochet.
Quelques semaines plus tard, il rencontrait la chienne sur une plage et affrontait courageusement les vagues avec elle.

Il suffit de regarder les images de leur périple aquatique pour voir à quel point ce moment fut magique pour Caleb. C’est avec un sourire radieux qu’il est sorti de l’eau avec sa nouvelle amie à 4 pattes.
« Je me sens presque normal. ça fait tellement de bien d’être libre, juste moi, ne m’inquiétant à propos de rien » a-t-il confié.

Source : www.wamiz.com
Par Sophie Le Roux Crédits photo : Facebook – Surf dog Ricochet, the SURFice dog
Assurer son chat et son chien, c’est possible et plutôt tentant même. Mais il faut attentivement peser le pour et le contre avant de se décider.
Avec 1,4 million de chats et 500 000 chiens en Suisse, le marché des assurances pour animaux a encore de beaux jours devant lui.
Mais est-ce vraiment indispensable d’assurer Médor et Gribouille? Avant tout, il convient de récapituler le montant des frais occasionnés par l’animal au cours des dernières années pour évaluer si le jeu en vaut la chandelle. Mais aussi de déterminer de quel genre d’assurance on a besoin pour son animal: maladie et/ou accidents ou encore décès?
Si le propriétaire se décide finalement à en souscrire une, il devra s’y prendre suffisamment tôt, car, comme dans le domaine de l’assurance maladie, les compagnies font la chasse aux bons risques en limitant l’âge d’admission: de trois mois à sept ans en général (quatre ans à Epona, quatre ans pour les chiens et six ans pour les minets à La Mobilière). Et pour cause! En règle générale, les premiers problèmes se manifestent aux alentours de la septième année.
Des exceptions à la pelle
Pour une même franchise, la prime mensuelle varie sensiblement d’un assureur à l’autre: entre 9.90 fr. et 23.55 fr. pour un chat et entre 19 fr. et 70 fr. pour un chien (voir tableau). Attention toutefois: le montant ne fait pas tout! Avant de signer un contrat, il faut en effet prendre le temps de lire attentivement les prestations proposées, puisque les exclusions sont nombreuses. Ainsi, la pose d’une puce électronique, la castration, la stérilisation ou encore les aliments diététiques ne sont pas pris en charge. C’est également le cas des frais de vaccination, à l’exception d’Animalia qui y participe à hauteur de 50 fr. par an (hors franchise). Quant à l’euthanasie, seules Helvetia et La Mobilière la couvrent entièrement. Les interventions de chirurgie plastique et reconstructive à des fins esthétiques (sic!) ne sont non plus pas assurées.
A l’exception de La Mobilière, les compagnies appliquent toutes un délai de carence après la signature du contrat: il est de 30 jours chez Animalia et Helvetia pour les maladies (pas de délai quant aux accidents). Il varie en revanche selon les cas à Européenne (accidents: 10 jours, maladie: 30 jours, maladie chronique: trois mois) et à Epona (aucun délai pour les accidents, maladie: 30 jours, maladies chroniques: six mois. Par conséquent, si un pépin survient durant ce laps de temps, l’animal ne pourra pas bénéficier des prestations. Enfin, on veillera également à demander les conditions de résiliation en cas de vol ou de disparition de longue durée de l’animal. Cela vaut tout particulièrement pour les chats qui adorent vadrouiller…
Source : Bon à savoir (février 2014)
Chantal Guyon